Psychoneuroimmunologie et spiritualité : Le réveil scientifique ?

La psychoneuroimmunologie, quel joli nom barbare pour une vérité que nous connaissons déjà ! Ces scientifiques ont vraiment le chic pour compliquer les choses simples. Vous vous rappelez quand on méditait juste pour le plaisir de se reconnecter à soi-même et à l’univers ? Maintenant, il faut y voir un effet sur le système immunitaire pour que ce soit « valable » à leurs yeux. 🙄

Mais bon, on ne va pas trop leur en vouloir. Après tout, s’ils réussissent à convaincre quelques sceptiques grâce à leurs grandes études, c’est toujours ça de pris! Parce qu’entre nous, on sait bien que ces petits rituels du quotidien, ces moments de paix intérieure, c’est la clé du bien-être global.

L’exemple de Sandrine

Prenez Sandrine, une amie à moi. Elle a commencé à pratiquer la méditation il y a quelques mois seulement, et regardez-la aujourd’hui! Rayonnante, zen, en parfaite santé malgré un rythme de vie effréné. Elle me disait l’autre jour « C’est fou ce que ça peut faire, 20 petites minutes par jour à se ressourcer. Je me sens tellement plus légère et équilibrée! »

Vous voyez, c’est exactement ça l’idée ! Cette reconnexion avec son essence profonde a un impact sur les plans physique, mental, émotionnel… Rien de très surprenant quand on y pense. Après tout, nous ne sommes pas juste un corps ou juste un esprit. Nous sommes un tout interconnecté.

L’Interconnexion corps-esprit

C’est d’ailleurs un peu l’erreur que font beaucoup de gens aujourd’hui. Ils séparent tout en petites cases étanches : le boulot, la famille, les loisirs, le développement personnel… Comme si on pouvait réellement compartimenter les différents aspects de notre existence !

Alors que la vérité, c’est que tout est relié. Un stress au travail va forcément rejaillir sur votre vie de famille. Un manque de sommeil va affecter votre concentration et votre humeur. C’est inévitable, à moins de se scinder totalement en plusieurs personnalités distinctes !

Ce qu’on essaie de faire, nous les experts du bien-être global, c’est justement de rétablir cette compréhension fondamentale de l’interconnexion. Notre corps et notre esprit forment un seul écosystème, en perpétuelle interaction avec l’environnement qui nous entoure.

Prenez le yoga par exemple. Au départ, c’est une pratique physique, avec des postures à effectuer. Mais très vite, avec la respiration contrôlée et la concentration requise, on se rend compte des bienfaits psychologiques. Le mental s’apaise, le stress s’écoule. Et inversement, lorsqu’on est agité intérieurement, on le ressent dans les tensions corporelles.

Le rôle de la méditation

C’est là qu’entre en jeu la méditation. Cette discipline nous permet de nous ancrer dans l’instant présent, de lâcher prise sur les soucis et angoisses qui polluent notre mental. Et comme par magie, le corps se détend, les crampes et migraines se dissipent.

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Bien sûr, il ne s’agit pas de magie, mais simplement de rétablir un équilibre naturel qui nous échappe trop souvent dans la course effrénée du quotidien. En prenant ces pauses sacrées pour se ressourcer, se reconnecter à notre souffle et à la brillance intérieure qui sommeille en chacun de nous, c’est comme si on permettait à notre système de se réinitialiser.

Je me souviens de cette période de grand stress il y a quelques années, où mon système immunitaire était au plus bas. Courbatures, maux de tête, rhumes à répétition… Rien n’y faisait. Jusqu’à ce que je me remette sérieusement à la méditation.

Au bout de quelques semaines seulement, c’était le jour et la nuit ! Mieux récupérée, moins d’accrochages émotionnels, un regain d’énergie indéniable. Mes proches me le faisaient d’ailleurs régulièrement remarquer : « Mais qu’est-ce que tu as fait ? Tu as l’air rayonnante ! »

La reconnexion à notre essence

Et c’est bien là le secret : me reconnecter, tout simplement. Me rappeler qui je suis vraiment, au-delà des rôles et responsabilités qui peuvent parfois me submerger. Retrouver ce lien à mon essence intemporelle, à ce puits de calme et de sérénité qui coule en chacun de nous quand on prend le temps de s’y abreuver.

C’est une expérience puissante, presque difficile à décrire à ceux qui ne l’ont pas vécue. Tout devient plus léger, les fardeaux et les drames se diluent. Il n’y a plus que l’immensité du moment présent, dans un état d’acceptation et de fluidité.

Alors oui, je peux comprendre que pour le scientifique conditionné à chercher des explications mécanistes dans la matière, cette idée de reconnexion à notre essence puisse sembler nébuleuse. C’est pour ça qu’ils doivent inventer des termes tordus comme la « psychoneuroimmunologie », histoire de coller des mots rassurants sur un phénomène qu’ils peinent à saisir.

Mais au fond, que représente cette découverte pour eux ? Une manière techno de dire que respirer, vivre dans l’instant présent et se reconnecter à soi, ça fait du bien ? Eh bien merci, on avait remarqué depuis longtemps !

Notre longueur d’avance

D’ailleurs, je me souviens de cette discussion que j’ai eue avec mon voisin Gérard, l’année dernière. Un sacré sceptique dans son genre, persuadé que toute cette histoire de spiritualité et de bien-être, ce n’était que des balivernes.

Je l’avais invité à venir assister à une de mes sessions de méditation hebdomadaire, par pure curiosité. Il était arrivé l’air renfrogné, bien décidé à ne pas se laisser avoir par « ces bêtises ».

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Mais au fil des minutes, pendant que je guidais le groupe dans la respiration consciente et la visualisation, je l’ai vu se détendre. Ses épaules se sont abaissées, son front s’est lissé. À la fin du pratique, quand je lui ai demandé ce qu’il en pensait, il a juste eu un petit sourire gêné : « C’était… reposant en fait. Faudrait peut-être que j’essaie plus souvent ».

Vous voyez, c’est exactement ça l’idée ! Cette reconnexion avec son essence profonde ne demande pas des années d’études ou de théories complexes. Il suffit parfois d’expérimenter soi-même, en toute simplicité.

Alors oui, amusons-nous un peu des termes compliqués des scientifiques. Mais accueillons cette « nouvelle découverte » avec le sourire espiègle de ceux qui ont déjà cette connaissance bien ancrée. Qui sait, dans quelques siècles, ils finiront peut-être par rattraper notre longueur d’avance ?

Etudes scientifiques sur la Psychoneuroimmunologie

https://link.springer.com/article/10.1007/s00415-007-2003-8

https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0889159101906543

https://nyaspubs.onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/j.1749-6632.2002.tb04240.x

Cyril
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